PAR AMANDINE LE BLANC - PUBLIÉ LE 28/10/2022 Les internes sont de nouveau en grève à partir de ce 28 octobre contre l’ajout d’une 4e année au DES de médecine générale qui vient juste d’être entérinée par 49.3 dans le PLFSS.
Après une première grève le 14 octobre dernier, une nouvelle journée d’action collective nationale est organisée ce 28 octobre. Les internes sont appelés à se mettre en grève jusqu’à la fin du semestre d’été le 1er novembre pour protester contre la mise en place (...)
Communiqué de presse du 23 Octobre 2022 Le 21 octobre 2022 une lettre ouverte au Président de la République était publiée dans le journal Le Parisien signée en 24h par plus de 4000 soignants en Pédiatrie, dont les responsables de l’ensemble des sociétés savantes, des internes, des paramédicaux, et des associations de patients. Dans cette lettre, ces soignants dénoncent des mises en danger quotidiennes et une dégradation criante des soins apportés aux enfants dont ils doivent assumer (...)
Paris, le mardi 25 octobre
Alors que le gouvernement ne semble pas vouloir revenir sur son projet d’allongement de l’internat de médecine générale, les internes entendent durcir la mobilisation entamée début octobre.
Dans le viseur, l’article 23 du PLFSS qui prévoit l’ajout d’une quatrième année à l’internat de médecine générale à effectuer « en priorité » dans les zones sous-denses. Les internes de médecine générale sont ainsi appelés à se mettre en grève à partir de jeudi soir, (...)
Dans quatre ans, les médecins en devenir que sont les internes seront ils moins capables qu’aujourd’hui ? La prolongation d’un an de l’internat de médecine générale n’a qu’un but : avoir de la main d’oeuvre à bon marché !
Accessoirement, le gouvernement veut faire croire qu’il s’occupe de cette question majeure : un médecin traitant pour tous les Français, alors que 6 millions n’en ont pas à ce jour.
Avec un trou d’un an dans la sortie de nouveaux médecins généralistes, la situation (...)
Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour l’année 2023 (PLFSS 2023) prévoit d’instaurer une quatrième année d’internat en médecine générale qui consistera en un stage à réaliser « en priorité » dans les « déserts médiaux ». Une solution pour pallier le manque de médecins dans ces zones délaissées mais qui est dénoncée par les internes. Interrogé par "La Tribune", l’InterSyndicale (ISNAR-IMG) dénonce « une année de formation sacrifiée » qui fait peser la responsabilité du (...)
Le 04/10/2022
Si le gouvernement met sur la table un recul de l’âge légal ou un allongement de la durée de cotisation, les syndicats « prépareront la riposte ».
Par Le HuffPost avec AFP
RETRAITES - Les huit organisations syndicales nationales sont prêtes à entrer dans la concertation sur les retraites qu’ouvrira le gouvernement mercredi, et « prépareront (...) la riposte » s’il met sur la table un recul de l’âge légal ou un allongement de la durée de cotisation, ont-elles fait savoir (...)
Le Monde.fr : Bordeaux : les soignants du CHU appelés à une grève illimitée à partir de mardi
A la veille d’un été qui s’annonce tendu, les syndicats demandent des hausses de salaire pour attirer de nouvelles recrues. Pour soulager les personnels, la direction a déjà annoncé la semaine dernière que 600 lits seraient fermés cet été.
Le Monde avec AFP
Publié le 27/06/2022
Les urgences de nuit de l’hôpital Pellegrin sont régulées la nuit depuis la fin mai 2022, faute de personnel en (...)
L’appel à la grève du 28 juin 2022 :
Mediapart b : À l’hôpital, une dernière mobilisation avant un été de tous les dangers
L’hôpital s’est mobilisé dans une cinquantaine de villes en France. Les manifestants alertent sur une situation d’une gravité sans précédent. Ils craignent aussi les prochaines annonces pour les urgences, qui pourraient restreindre l’accueil des patients.
Caroline Coq-Chodorge
7 juin 2022
L’attention médiatique à la situation de l’hôpital est inversement proportionnelle à sa mobilisation, ce (...)
Montreuil, le 30 mai 2022.
La colère gronde et la grève flambe à ORPEA après le refus du groupe de verser la prime d’intéressement.
Contraints très certainement à rembourser tout l’argent public détourné depuis 2017, « les fossoyeurs » refusent de verser la seule et unique prime. La colère jaillit dans tous les établissements. Encore une fois, les personnels sont ceux qui subissent et payent les pratiques condamnables d’ORPEA.
Aujourd’hui, ce sont plus de 15 établissements qui se (...)