GESTION DE LA PANDÉMIE, LE GOUVERNEMENT EST COUPABLE ! Les discours lénifiants du 1er ministre sont trompeurs, le covid-19 circule avec des disparités locales mais à un niveau élevé sur le territoire et le variant anglais beaucoup plus contagieux représente désormais 60 % des contaminations. D’’autres variants, sud africain, brésilien... sont très infectieux et se répandent sur le territoire. Conséquence : « Les hôpitaux sont toujours soumis à une forte pression » comme est obligé (...)
En mai dernier, Macron déclarait vouloir « sortir le vaccin des lois du marché ». Aujourd’hui il en appelle à une « coordination mondiale sur la vaccination ». Une pure posture médiatique quand, à l’OMC, les représentantEs de la France, de l’Union européenne, soumis aux intérêts des trust pharmaceutiques, refusent d’accorder aux États pauvres une dérogation temporaire aux accords sur les droits de propriété intellectuelle, afin de produire ce dont ils auraient besoin.
Des vaccins (...)
NPA santé février 2021 Nos vies valent plus que son pari !
En décidant de ne pas « reconfiner le pays » Macron aurait gagné un « pari » Il aurait évité une nouvelle épreuve à celles et ceux qui n’en peuvent plus après un an d’une vie de plus en plus difficile.
C’est pourtant avec notre santé et nos vies qu’il a décidé de jouer. Ce que l’on attend des gouvernants, n’est pas de « parier » en espérant que le pire ne se produira pas, mais d’agir, de prendre démocratiquement les mesures (...)
Un numéro du bulletin local de Saint-Malo qui fait une grande place aux questions de santé, tant nationales que locales
Tract sante NPA Janvier 2021 : "A l’hôpital comme ailleurs Pour vaincre le virus, pour sortir de la crise : Prenons nos affaires en main". Masques, tests, vaccins ils auront tout raté ! Après les masques, les tests, c’est maintenant la vaccination que Macron et les siens sont incapables de mettre en œuvre dans de bonnes conditions.
En ce début d’année la vague de l’épidémie remonte, plus lente mais plus meurtrière que la première. Le second confinement n’a pas empêché le maintien des (...)
A L’HÔPITAL COMME AILLEURS POUR VAINCRE LE VIRUS, POUR SORTIR DE LA CRISE : PRENONS NOS AFFAIRES EN MAIN
L’épidémie de coronavirus se poursuit mais la réponse du gouvernement reste la même : peu de moyens pour la santé, l’arrêt des loisirs, les sanctions... Pourtant, le nombre de décès causés par le Covid-19 est remonté, évoluant maintenant en moyenne entre 250 et 410 décès par jour (530 au maximum en avril dernier), soit environ 34 000 mortEs depuis début 2020. En ce qui concerne ces décès, 92 % ont plus de 65 ans, 99 % plus de 45 ans, et 65 % d’entre eux sont associés à une comorbidité. (...)
L’année qui se termine a montré que le capitalisme était incapable de répondre à la pandémie. Dans une majorité de pays, et la France n’échappe pas à la règle, les gouvernements capitalistes ont privilégié les grandes entreprises aux populations, et les politiques liberticides aux investissements massifs dans la santé publique...
Un système contradictoire avec la santé de touTEs
Face à la propagation du virus, c’est la concurrence entre capitalistes qui a dominé, par exemple concernant (...)
Mardi soir, les annonces de Macron sont tombées : ce samedi 28 novembre, les commerces vont rouvrir... avec la possibilité d’un confinement allégé, voire levé à partir du 15 décembre, mais avec la mise en place d’un couvre feu de 21h à 7h du matin. Et toujours aucune mesure contre le chômage, pour les hôpitaux, pour améliorer les conditions de travail et d’études. Il s’agit une fois de plus de décisions autoritaires qui ne peuvent être qu’en défaveur des classes populaires.
Rien pour la (...)
Etat d’urgence, confinement autoritaire, sanctions, ras le bol ! Imposons d’autres solutions !
A l’hôpital, le cauchemar recommence. Après la « première » vague en mars avril, la deuxième, cet automne frappe et frappe fort. A nouveau les services sont pleins. Il faut à nouveau pousser les murs pour accueillir les patients « Covid » et les soigner, en essayant de ne pas sacrifier les autres malades. Cette fois toutes les régions sont touchées.
La pénurie de personnel est critique et (...)