14 déc. 2016 Blog : Le blog de Outils du soin La PUMa est une régression par rapport à la loi de CMU de 1999 qui permettait aux étrangers résidant en France d’avoir une couverture maladie pour une durée incompressible d’un an.
Dès fin 2015, les associations alertaient sur ce projet (en théorie la PUMa existe depuis janvier 2016) qui risquait d’exclure les étrangers de la couverture maladie.
Dans le texte cité ci-dessous, le secours Catholique reprenait les inquiétudes des (...)
Par la rédaction
Le tiers payant entre dans sa phase très concrète. A partir du 1er janvier, il s’étendra à tous les patients couverts à 100 % par l’Assurance Maladie, dont les femmes enceintes et les patients ALD (affection Longue Durée).
Dès lors, les médecins ne pourront plus refuser d’appliquer à ces patients la dispense d’avance des frais remboursés par la Sécu. Ils garderont toutefois le choix d’appliquer le tiers payant pour la part mutuelle.
11 millions d’assurés
Ce (...)
Assurance-maladie : inquiets, les Français réclament des réformes, pas des solutions radicales
Marie Foult
05.12.2016
84 % des Français estiment que le système d’assurance-maladie est bon (89 % pour les sympathisants de gauche, 85 % pour ceux de droite et 68 % pour les proches du FN), selon un sondage Odoxa, réalisé les 1er et 2 décembre*. Et 70 % pensent qu’il est efficace. Signe d’un attachement, la très grande majorité des Français (84 %) jugent également que le système (...)
Un observatoire dénonce les « frais cachés » des patients en ALD
Marie Foult
26.10.2016
Le dispositif des affections de longue durée (ALD) « joue son rôle » mais reste cependant loin de la couverture à 100 % affichée.
Selon l’Observatoire citoyen des restes à charge*, qui s’est appuyé sur les chiffres 2013 de la CNAM, le reste à charge des 11,5 millions de personnes en ALD (cancer, diabète, insuffisance rénale, VIH, Parkinson...) s’est élevé à 752 euros par an avant intervention (...)
Cancers, diabète, Alzheimer… Les malades en affection de longue durée (ALD) doivent souvent mettre la main à la poche. Nos chiffres inédits.
Cancers, diabète, insuffisance rénale chronique, infection au VIH… Parce que ces pathologies lourdes occasionnent des traitements longs et particulièrement coûteux, les personnes qui en souffrent bénéficient du dispositif dit des affections de longue durée (ALD).
En pratique, cela signifie que les soins liés à leur maladie sont pris en charge à (...)
Maladies de longue durée : une étude remet en cause la réalité de la couverture à 100 %
Les patients qui bénéficient d’une prise en charge totale ne sont couverts qu’à 88 %, du fait des dépassements d’honoraires.
Le Monde.fr avec AFP
25.10.2016
Malgré une prise en charge de la Sécurité sociale à 100 % pour les personnes en affection de longue durée (ALD), des restes à charge, parfois importants, subsistent et peuvent conduire à renoncer à des soins, révèle une étude, mardi 25 (...)
Le 12 octobre 2016
En application de l’article L114-4-1 du code de la sécurité sociale1, le comité d’alerte rend un avis, au plus tard le 15 octobre, sur l’objectif national d’assurance maladie proposé par le gouvernement dans le projet de loi de financement pour l’année suivante.
Le PLFSS pour 2017 propose de fixer l’ONDAM à 190,7 Md€, en progression de 2,1 % par rapport à la prévision d’exécution de l’ONDAM 2016 (après prise en compte des changements de périmètre). Selon les (...)
Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, a lancé le Plan national de lutte contre la maladie de Lyme le 29 septembre après l’avoir présenté dans la matinée aux associations de patients.
Ce plan en 15 actions « répond aux besoins de prise en charge des malades », est-il indiqué dans un communiqué de presse. Plusieurs mesures concrètes pour le diagnostic et la prise en charge ont été prises afin d’« éviter le sentiment d’abandon et l’errance thérapeutique auxquels (...)
TRAM = TRAVAIL EN RESEAU DE L’ASSURANCE MALADIE Dès les premières annonces de mutualisations, la CGT a indiqué qu’elle s’opposait fermement à ce type d’organisation du travail. En effet, le but de ces mutualisations s’inscrit dans le cadre de la RGPP (révision générale des politiques publiques) transformée depuis en MAP (mordernisation de l’action publique) n’ayant qu’un seul but, réaliser des économies dites d’échelle sur le dos du service public et de son personnel, contribuant ainsi, à (...)