14 OCT. 2020 PAR ASSOCIATION NATIONALE DE DÉFENSE DES VICTIMES DE L’AMIANTE BLOG : LE BLOG DE ASSOCIATION NATIONALE DE DÉFENSE DES VICTIMES DE L’AMIANTE
À partir du 16 octobre prochain se jouera l’avenir incertain d’un procès pénal de l’amiante. Les victimes de ce matériau cancérogène vont entamer une série de procédures contre les décisions de non-lieu prononcées en décembre 2018. Nous attendons que la Cour d’appel de Paris rétablisse la vérité. La justice éviterait un naufrage et (...)
par Sophie Chapelle 3 septembre 2020
Nous continuons de consommer des aliments génétiquement modifiés sans le savoir. Le gouvernement français n’a toujours pas publié le décret qui doit encadrer les variétés rendues tolérantes aux herbicides, en dépit de la décision du Conseil d’Etat.
Ce sont des variétés considérées comme des OGM (organismes génétiquement modifiés) par la Cour de justice européenne. Elles sont pourtant cultivées en France sous le nom de « VRTH », variétés rendues (...)
Le magazine attire l’attention sur plusieurs produits, y compris de marques très connues comme Dior, L’Oréal ou Carrefour, dans une étude testant 86 produits.
Substances potentiellement cancérogènes ou polluantes dans des crèmes hydratantes, métaux lourds dans des dentifrices… La revue 60 millions de consommateurs a épinglé plusieurs produits cosmétiques, y compris de marques très connues – comme Dior, L’Oréal ou Carrefour –, dans une étude testant 86 produits et publiée jeudi 27 août. (...)
1 AOÛT 2020 PAR JULIEN SARTRE
Depuis 2010, un dispositif existe afin que les « irradiés du Pacifique » fassent valoir leurs droits ou obtiennent réparation pour ceux de leurs proches qui sont décédés. Mais les lois, les décrets et les décisions contradictoires du Conseil d’État se sont multipliés, sans effet autre que de compliquer la tâche des demandeurs et de décourager toutes les velléités. >Série : Les irradiés du Pacifique
Tahiti, Raiatea, Tahaa et Anaa (Polynésie française). (...)
Par Aude Massiot — 24 juillet 2020
« Libération » révèle des conflits d’intérêts autour de la dernière étude sur l’herbicide controversé à l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail. Sous pression, celle-ci a annoncé jeudi le retrait du consortium d’experts mis en cause.
Ceci n’est pas le récit de personnes malveillantes happées par leur avidité. C’est l’histoire d’une agence publique qui semble avoir oublié son essence même : préserver (...)
21 juillet 2020
Par Climate&Capitalism
Une étude publiée dans le numéro de ce mois-ci de la revue Lancet Planetary Health conclut que l’utilisation généralisée de pesticides et d’autres produits agrochimiques peut accélérer la transmission de la maladie débilitante qu’est la schistosomiase [1], tout en perturbant les équilibres écologiques des milieux aquatiques qui préviennent les infections.
La schistosomiase, également connue sous le nom de fièvre des escargots ou bilharziose, (...)
Par Aude Massiot — 24 juillet 2020 « Libération » révèle des conflits d’intérêts autour de la dernière étude sur le glyphosate à l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail. L’Anses, sous pression, a annoncé jeudi que le consortium en charge de l’étude se retirait.
Ceci n’est pas le récit de personnes malveillantes, happées par leur avidité, ni d’erreurs humaines. C’est l’histoire d’une agence publique, coincée entre des impératifs (...)
28-06-2020
L’association ATC (association toxicologie chimie) a publié vendredi 26 juin un rapport sur « l’utilisation du gaz lacrymogène CS et ses effets toxiques à plus ou moins long terme », révèle Le Nouvel Obs, qui a eu accès au rapport en avant-première (désormais en ligne).
« La question de la nocivité des gaz lacrymogènes a déjà largement été posée dans le monde, mais elle n’avait jamais été synthétisée de la sorte, a déclaré au journal André Picot, le président de (...)
PAR NOLWENN WEILER 23 JUIN 2020
Plusieurs milliers de procédures judiciaires sont en cours aux États-Unis, engagées par des femmes atteintes d’un cancer de l’ovaire après avoir utilisé du talc pouvant contenir de l’amiante. En France les associations dénoncent l’inertie des pouvoirs publics.
Le géant américain de produits pharmaceutiques J&J (Johnson & Johnson) a annoncé le retrait des ventes de son talc pour bébé, le « Johnson’s baby powder », six mois après la découverte de (...)
PAR NOLWENN WEILER 23 JUIN 2020
Plusieurs milliers de procédures judiciaires sont en cours aux États-Unis, engagées par des femmes atteintes d’un cancer de l’ovaire après avoir utilisé du talc pouvant contenir de l’amiante. En France les associations dénoncent l’inertie des pouvoirs publics.
Le géant américain de produits pharmaceutiques J&J (Johnson & Johnson) a annoncé le retrait des ventes de son talc pour bébé, le « Johnson’s baby powder », six mois après la découverte de (...)