26 MAI 2020 PAR ROMARIC GODIN
En décidant de poursuivre l’amortissement de la dette sociale (Sécurité sociale, chômage, vieillesse), le gouvernement choisit la pire des solutions et prépare une inévitable austérité dans ce secteur.
Au plus fort de la crise sanitaire, Emmanuel Macron avait promis qu’il agirait « quoi qu’il en coûte ». Mais alors que l’on sort progressivement de cette urgence, il semble que ce discours soit déjà oublié. Les vieux réflexes reviennent, et avec eux (...)
PAR CYRILLE DUPUIS
Le gouvernement va ajouter 136 milliards de dette au trou de la Sécurité sociale, dont le remboursement sera repoussé de « 2024 à 2033 » en raison du coronavirus et de ses conséquences budgétaires, a annoncé le gouvernement ce mercredi, confirmant une information des « Échos ».
Les conseils d’administration des caisses de Sécurité sociale (ACOSS, CNAF, CNAM, CNAV) ont été saisis d’un projet de loi organique et d’un projet de loi ordinaire transférant le passif de (...)
Lequotidiendumedecin.fr : Sécu : la CADES hérite de 136 milliards de dette, remboursement repoussé à 2033, vers une nouvelle branche autonomie
PAR CYRILLE DUPUIS -
PUBLIÉ LE 20/05/2020
Le gouvernement va ajouter 136 milliards de dette au trou de la Sécurité sociale, dont le remboursement sera repoussé de « 2024 à 2033 » en raison du coronavirus et de ses conséquences budgétaires, a annoncé le gouvernement ce mercredi, confirmant une information des « Échos ».
Les conseils (...)
20 MAI 2020 : LE BLOG DES INVITÉS DE MEDIAPART
Des associations de chômeur·se·s et précaires, syndicats de Pôle emploi, syndicats et collectifs adressent un appel solennel aux autorités pour que des mesures d’urgence soient prises pour empêcher la catastrophe sociale, notamment la prolongation sur un an de l’ensemble des droits des chômeurs, chômeuses et précaires inscrit·e·s à Pôle emploi et de nouveaux droits d’ndemnisation aux personnes en emploi discontinu ou sans emploi.
Monsieur (...)
Le Monde.fr : Coronavirus : le désendettement de la Sécurité sociale pourrait être repoussé à 2033 à cause de la crise sanitaire
Selon « Les Echos », le gouvernement envisage d’ajouter plus de 130 milliards de dette au « trou de la “Sécu” », dont le remboursement était prévu pour 2024.
Le Monde avec AFP
Publié le 20/05/2020
La crise liée à l’épidémie de Covid-19 en France risque d’affecter la Sécurité sociale sur le long terme. Le quotidien Les Echos affirme, dans son édition de (...)
Le 19 mai 2020
La Sécurité sociale va voir son déficit plonger d’une quarantaine de milliards d’euros en un an. Le Haut Conseil pour le financement de la protection sociale suggère de transférer à l’Etat la part de création de dette liée au coronavirus.
Attention à ne pas surcharger la barque sociale. Le Haut Conseil pour le financement de la protection sociale (HCFiPS), qui joue un rôle de gardien de la Sécurité sociale, de l’assurance-chômage et des retraites complémentaires, monte (...)
Le ministre de l’Economie Bruno Le Maire a assuré ce lundi 18 mai s’attendre à une « décrue » du chômage partiel « dans les prochaines semaines », d’autant que ce dispositif va évoluer dès le 1er juin.
Depuis le déconfinement il y a une semaine, l’économie française "démarre doucement comme une belle endormie", a affirmé le ministre sur France Info, citant comme exemple les secteurs du bâtiment et des travaux publics. Selon ses chiffres, le nombre de chantiers à l’arrêt en France est (...)
17 MAI 2020 PAR CÉCILE HAUTEFEUILLE
Les agences Pôle emploi reprennent progressivement leurs activités le lundi 18 mai. Si la direction générale a planché sur les conditions sanitaires, elle n’a pour le moment rien communiqué sur le probable déferlement de nouveaux chômeurs. Au grand dam de conseillers qui craignent d’être débordés.
Réceptionner les colis de visières et de vitres en plexiglas, déballer les masques et le gel hydroalcoolique, placer les marquages au sol, évaluer les (...)
28 AVRIL 2020 PAR ROMARIC GODIN ET DAN ISRAEL
En mars, 246 100 personnes supplémentaires se sont inscrites à Pôle emploi. C’est le plus mauvais mois enregistré depuis 1996. Et la situation devrait empirer, car le chômage partiel, déployé pour un salarié sur deux, ne protégera les emplois que temporairement.
Sur le front de l’emploi, les mauvaises nouvelles étaient attendues, mais la gravité de la situation a de quoi inquiéter même les plus blasés des experts. Lundi 27 mars, la Dares – (...)
PAR MAXIME COMBES 27 AVRIL 2020
En prenant en charge une partie des salaires, via le chômage partiel, en aidant les entreprises ou les indépendants, en annonçant quelques mesures pour les plus démunis, l’État joue, même imparfaitement et avec retard, son rôle protecteur. Une question demeure en suspens : les grandes entreprises, les grosses fortunes et le secteur financier seront-ils mis à contribution ?
« Tout sera mis en œuvre pour protéger nos salariés et pour protéger nos (...)