Par Jean-Guillaume Bayard
Des médecins de la Ligue contre le cancer s’inquiètent déjà des retards dans la prise en charge des malades de cancer au moment où la deuxième vague de Covid-19 s’abat sur la France.
Publié le 26.10.2020
La baisse de l’activité de dépistage a été estimée à 30% pendant la période de confinement, ce qui pourrait se traduire par une augmentation de la mortalité par cancer entre 2 et 5% d’ici à 5 ans
Des opérations non urgentes pendant le confinement n’ont (...)
par Lorène Lavocat (Reporterre)
Le retour des équipements réutilisables pourrait soulager les soignants plongés dans la deuxième vague de la pandémie. Mais il faudrait une volonté politique qui est absente, et laisse la place au lobby du plastique et au gâchis environnemental.
Alors que la « deuxième vague » de la pandémie se profile en France, les soignants multiplient les messages d’alerte : ils craignent de nouvelles pénuries d’équipements médicaux. Gants, masques, blouses : « On (...)
18 OCTOBRE 2020 PAR SOPHIE COUSIN (MEDIACITÉS)
L’exécutif se défend d’avoir été contraint au couvre-feu faute d’avoir prévu assez de lits en réanimation. Mais au CHU de Nantes, une centaine de lits ont été fermés ces derniers mois. Certains personnels sont entrés en grève illimitée.
« Nous y sommes ! Nous vivons dans les hôpitaux de province les difficultés vécues depuis plusieurs années dans les hôpitaux parisiens », constate Olivier Terrien, aide-soignant et secrétaire général CGT au (...)
Valérie Lehoux, Publié le 13/10/20
Alors que le nombre d’hospitalisations repart à la hausse, l’Ordre national des infirmiers tire la sonnette d’alarme. Epuisés, en manque de considération, 43 % des infirmiers interrogés dans une récente enquête disent ne pas savoir s’ils feront encore ce métier dans cinq ans.
Des conditions de travail dégradées, des repos reportés, des tâches qui dépassent les domaines de compétence réglementaires… Une étude menée par l’Ordre national des infirmiers, (...)
Les courbes épidémiques descendent puis montent. L’hôpital, sans illusions, remobilise ses soignants. Les congés sont annulés, comme les stages des étudiants, envoyés sur le front du dépistage. À Lyon, les soignants positifs au coronavirus doivent travailler s’ils sont jugés « indispensables ».
Le ministre de la santé a adressé aux soignants, « le soutien de la nation entière » lors de sa conférence hebdomadaire, jeudi 8 octobre. Faute d’avoir su maîtriser l’épidémie cet été, le (...)
Une décision prise par l’ARS “au vu de la pression sur les lits de réanimation et d’hospitalisation conventionnelle".
Le plan blanc va être nouveau déclenché en Île-de-France, a annoncé Aurélien Rousseau, directeur de l’ARS IDF, ce mercredi 8 octobre. Sur Twitter, il explique que cette décision est due à la pression qui commence à se faire à nouveau ressentir en réanimation et dans les hôpitaux.
“Au vu de la pression sur les lits de réanimation et d’hospitalisation conventionnelle, (...)
Le Monde .fr : Covid-19 : la promesse intenable des 12 000 lits disponibles en réanimation
Par Chloé Hecketsweiler , François Béguin et Camille Stromboni
Publié le 06/10/2020
ENQUÊTE : Alors que le nombre de patients hospitalisés augmente lentement mais sûrement, les hôpitaux s’inquiètent de la difficulté à recruter les effectifs nécessaires pour ouvrir ces lits.
Y aura-t-il suffisamment de lits de réanimation en France cet hiver ? Alors que de nouvelles mesures exceptionnelles (...)
SI L’ÉGALITÉ entre les femmes et les hommes a été déclarée grande cause du quinquennat, faire progresser cette égalité nécessite l’engagement de toutes et tous. Certaines professions emblématiques, dont font partie les médecins, ont une responsabilité dans ce changement des mentalités. Car si la santé en France est aux mains des femmes – à 80 % pour les métiers du care(soigner) comme les infirmières et les aides-soignantes et à 52 % pour ceux du cure (guérir) exercés par les médecins dans (...)
3 OCTOBRE 2020 PAR CAROLINE COQ-CHODORGE
Des médecins et des infirmiers racontent à quel point ils ne sont pas prêts à faire face à un nouvel afflux de malades. Parce que les effectifs manquent, que de nombreux lits sont fermés, et qu’il leur est insupportable de devoir, à nouveau, choisir entre leurs patients.
Il y a toujours ce décalage dans la communication du gouvernement, qui brouille le message. Le ministre de la santé a rendu publiques, jeudi 1er octobre seulement, les (...)
Mediapart : Sous la menace du Covid-19, l’hôpital public oscille entre angoisse, dépit et colère
3 OCTOBRE 2020
PAR CAROLINE COQ-CHODORGE
Des médecins et des infirmiers racontent à quel point ils ne sont pas prêts à faire face à un nouvel afflux de malades. Parce que les effectifs manquent, que de nombreux lits sont fermés, et qu’il leur est insupportable de devoir, à nouveau, choisir entre leurs patients. Il y a toujours ce décalage dans la communication du gouvernement, qui (...)