Sécurité sociale : le gouvernement veut réduire les dépenses liées aux affections longue durée Publié le 28/02/2024 20:31 Mis à jour Durée de la vidéo : 2 min Sécurité sociale : le gouvernement veut réduire les dépenses liées aux affections longue durée - fermer la publicité reprendre la vidéo plein écran (f)
Article rédigé parFrance 2 - N. Poitevin, C. Guyon, A. Paris, M. Martel, A. Tribouart, E. Stervinou, M. Anglade, L. Bleuzen France Télévisions
JT de 20h France 2 Les affections (...)
Lequotidiendumedecin.fr : Fronde tarifaire : dans le Morbihan, ça tangue dans la relation médecin-patient
PAR FRANÇOIS PETTY -
PUBLIÉ LE 16/02/2024
« Des dizaines d’adhérents et de patients de la région nous alertent de plus en plus souvent sur le fait que des médecins généralistes, sur Vannes et dans tout le Morbihan pratiquent, à discrétion, parfois des consultations à 31,50 euros », explique, concernée, la représentante vannetaise de la Confédération syndicale des familles (CSF) (...)
Le Monde.fr : Médecins libéraux : vers une consultation revalorisée à hauteur de 30 euros chez le généraliste
Après avoir dévoilé sa proposition très attendue sur les tarifs des consultations, l’Assurance-maladie a mis en avant les contreparties qu’elle entend demander aux médecins, sous la forme d’objectifs collectifs.
Par Camille Stromboni
Publié le 08/02/2024
L’Assurance-maladie a enfin abattu ses cartes : le tarif de la consultation de base chez le médecin généraliste pourrait (...)
France info : Sécurité sociale : l’assurance-maladie ouvre la voie au passage à 30 euros de la consultation des médecins généralistes
Cette annonce intervient après une nouvelle séance de négociations tarifaires entre l’Assurance maladie et les syndicats de médecins.
Article rédigé par franceinfo avec AFP France Télévisions
Publié le 08/02/2024
L’assurance-maladie a ouvert jeudi 8 février la voie à une hausse à 30 euros de la consultation des médecins généralistes, contre 26,50 (...)
Lequotidiendumedecin.fr : Arrêts maladie, les généralistes sous surveillance : dans les Hauts-de-France, l’Assurance-maladie défend la « régulation » des prescriptions
PAR CYRILLE DUPUIS -
PUBLIÉ LE 25/08/2023
C’est devenu un des feuilletons de l’été : le tour de vis décidé cet été par Bercy sur les arrêts maladie – et mis en œuvre par les caisses primaires – n’en finit pas de provoquer des remous au sein de la profession, qui dénonce depuis plusieurs semaines une forme de « flicage (...)
L’aide médicale d’État (AME) pour les personnes étrangères est à nouveau dans le viseur de la droite et de l’extrême droite parlementaires. Sur le terrain, les difficultés pour accéder à la protection sociale contredisent leurs arguments.
Avant l’annonce du report du projet de loi immigration au mois de juillet, le Sénat avait adopté, mi-mars, un amendement visant à supprimer l’aide médicale d’État (AME) pour la remplacer par une aide médicale d’urgence, plus restrictive. « Nous devons (...)
André Grimaldi
La santé est définie par l’OMS comme « non seulement l’absence de maladies mais un état de bien- être physique, psychologique et social », autrement dit le bonheur. Définition pertinente dans la mesure où elle ne réduit pas la santé aux soins.
La Sécurité sociale ne distinguait d’ailleurs pas à son origine l’assurance maladie des autres risques, tous incorporés dans le régime général. Mais cette définition de l’OMS peut aussi être interprétée dans le sens d’une (...)
Publié le Lundi 14 Novembre 2022 Christophe Prudhomme
Depuis quarante ans, les médecins sont autorisés à pratiquer des dépassements d’honoraires. L’assurance-maladie a mis en place ce dispositif qui lui permet de ne pas revaloriser les actes des médecins, essentiellement des spécialistes, et de reporter sur les patients le paiement du complément de rémunération des praticiens. Les assurances-maladie complémentaires prennent en charge une partie de ces surcoûts, mais l’inflation de ces (...)
DÉCRYPTAGE
La droite a réussi à faire voter dans le projet de loi de Finances rectificative une première enveloppe de 20 millions d’euros pour l’instauration de la carte Vitale biométrique. Une de ses vieilles revendications pour lutter contre la fraude sociale.
Les frais de fabrication d’une carte Vitale biométrique pourraient s’élever à 15 euros contre 4,40 euros auparavant pour une carte classique. Les frais de fabrication d’une carte Vitale biométrique pourraient s’élever à 15 (...)
La droite demande la mise en place d’une carte vitale biométrique pour lutter contre la fraude sociale. Après avoir refusé une proposition de loi sénatoriale sur le sujet en 2020, la majorité y semble désormais ouverte.
par LIBERATION publié le 28 juillet 2022
Un vieux loup de mer de la droite qui refait son apparition et pourrait, enfin, aboutir. Ces derniers jours, Les Républicains ont remis sur la table la volonté de créer une carte vitale biométrique, qui permettrait selon eux de (...)